samedi 12 avril 2014

chapitre 1: dans les yeux

Le dernier mot de mon grand père fut: exceptionnel. D'après ma mère il s'adressait à moi. On la toute les deux vu mourir à l'hôpital mais j'étais petite, c'est donc ma mère qui me la expliquait, chaque années en faite, d'ailleurs aujourd'hui c'est le jour de sa mort et on va lui déposé des fleurs.
Nous sommes dans la voiture en direction du cimetière, non je blague, on y va à pied... Mes parents sont trop... Pauvre. Sans aucuns dialogues, nous marchons une heure vers le cimetière, un bouquet de fleur en mains. Dans ma famille, quand on ouvre la bouche, ça finit toujours en disputes. Arrivé au cimetière, un frisson me parcouru, et puis tout un coup, j'eu comme une vision. Je vis des yeux bleu, profond, mystérieux avec un soupçon de colère et une dose de vide. Ça ne pouvait pas être les miens car mes yeux sont marrons.
-Audrey ! Tes fleurs ! S'écria soudain ma mère.
-Hein ? Heu oui, voilà.
-ah la la, dommage que tu ne te rappele pas de ce dernier mot que ton grand père t'a prononcé, ce mot qui te décrit parfaitement, audrey, exceptionnel.
-Et comment peut tu savoir qu'il s'adressait à moi et non à toi ?
-ce n'est pas le moment de posée de question, tais toi et penses à ton grand père qui est au ciel.
-Oh ça va Cécile ! Laisses ta fille dire ce qu'elle penses. S'exclama alors mon père.
Ma mère se tut et ferma les yeux suivit de mon père. Moi je ne fis rien, après tout je ne le connaissait pas. Et puis si il était comme ma mère, mieux vaux ne pas éprouvait de regret concernant sa mort, ça ne me concerne pas, point c'est tout.
Le lendemain, c'était l'école,  je devais donc me préparer et déjeuner en une heure.
Comme d'habitude.
Je pris rapidement mon téléphone que j'insèra dans mon sac, puis je me rendit dans la cour de l'école. Comme à mon habitude, je m' asseya seule, sur le banc. Au bout de cinq minute, je commença à m'ennuyer, je marcha donc vers les toilettes. A ce moment je croisa les yeux d'un garçon, Il avait de beaux yeux bleus, profond. J'étais comme hypnotiser, comme si une musique parcourait mon corps. Soudain le garçon disparut mais la musique était de plus en plus forte, un mot résonnait: "asphyxié". Mes jambes me fessait mal, tellement mal que j'avais envie de hurler.

Le garçon aux yeux bleus s'était téléporter dans l'esprit de la jeune fille, il paniquer, qu'arrivait il à cette fille ? Était elle comme lui ? Il regarda devant lui, puis il leva la tête, la jeune fille était enfermé dans une bulle, elle chantait aussi fort qu'elle pouvait. Le garçon se posait beaucoup de questions, il paniqua. Quand la bulle descendit, il essaya d' éclater la bulle avec son doigt. Ça ne fonctionna pas. Il entendait la fille hurlait, mais les hurlements ne venait pas de la fille dans la bulle mais de la vraie fille auquel il était entré dans son esprit. Cette musique dans ses yeux l'avait transporté ici. Éclater la bulle pourrait peut être aidé la fille qui hurlait ?  Pourquoi pas. Mais comment faire ? Il savait qu'il contrôler la musique, mais pouvait il s'en servir ? Il se mit à chanter, ses mains contrôler la musique, c'est comme si il avait des instruments devant lui. Une boule d'électricité commença à naître dans ses mains, il continua de chanter puis quand il jugea bon, il toucha d'un coup puissant la bulle qui elle, éclata. Le garçon entendit un hurlement impossible à décrire, la jeune fille avait certainement sentit la bulle éclatait. Des éclats de lumière violets parcourent l'esprit de la fille.
L'autre fille libérée avait l'air heureuse et très forte, elle continua à chantait, plus elle chantait, plus les éclats grandissaient. Il sentait que quelque chose naissait. Peut-être un pouvoir comme le siens ? Il jugea bon de retourner dans le monde réelle.

J'avais mal, le garçon réapparue sous mes yeux. Je sentais quelque chose grandir en moi, mes veines étaient violets, j'avais l'impression d'être folle, personne ne fut attention à moi, ce fut comme ci j'étais invisible aux yeux des autres sauf au garçon. Ce garçon me fixé des yeux l'air inquiet. Je me sentait aussi libéré, comme si j'avais trouvé la clef: ce garçon aux yeux d'un bleu... Magique.

introduction

Depuis toute petite, je me sens seule, comme enfermé. Je rêve du jour où la bulle eclatera, où je dirai à haute voix ce que je pense des autres et de leur préjuger. Quand ce jour viendra, je serai prête à leur montrer ce que je vaux. Mais en attendant je pleure en silence. Chaque larmes que je verse représente l'une de mes douleurs. La vraie moi est enfermée comme dans un château fort verrouiller mais un jour, je trouverai la clef.